DER WANDEL
LE CHANGEMENT


La réalité
Est l'illusion abstraite
D'idéaux détruits
Quand le cri commença
Commença à mourir
L'esprit se sépara
De la chair pourrissante
L'odeur
Douceâtre de moisi
Se désintègre en espace
Espace et temps
Encouragement accepté
Secourable la réalité
La faible vie
Crie brillamment

Ne tressaillant plus que peu pour se défendre
La finale
Se retire doucement
Dans l'arrière-pays
Inconnu.

© Oswald Henke

Traduction : Myriam Marc

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